Depuis trois ans, les assistantes maternelles de l'association AMSTRAMGRAM viennent à la résidence, accompagnées des petits qu'elles accueillent. Depuis ce printemps, les visites sont devenues régulières, soit pour les plantations dans les jardins en carrés mis à leur disposition, soit pour les animations du lundi matin avec les résidents.
L'objectif est de partager un moment ensemble autour d'activités telles que le chant, la musique et le rythme, les marionnettes, la lecture ou la gymnastique comme ce lundi 26 septembre, où nous nous sommes bien amusés avec le jeu "Chamboule Tout".
Voici quelques photos pour en témoigner :
jeudi 29 septembre 2011
mercredi 21 septembre 2011
Remise de médailles à la résidence retraite Yves Couzy
Article extrait du Midi Libre, le 12.09.2011
Cette année encore, à l’occasion de la réunion de rentrée proposée à l’ensemble du personnel de la résidence retraite Yves-Couzy, les salariées sont à l’honneur.
Au terme de deux heures de réunion au cours desquelles plusieurs thèmes majeurs ont été abordés (l’accompagnement des résidents en fin de vie, la mise en place d’un code de bonnes pratiques professionnelles élaboré en équipe, la formation, le futur agrandissement de la structure qui permettra de diversifier plus encore les modalités d’accueil), Muriel Brajon, directrice de la résidence, a souhaité valoriser l’investissement humain de salariés présents depuis plus de 20 ans.
Christine Niel et Christiane Mora se sont vues remettre une belle médaille tricolore pour vingt ans de « bons et loyaux services ».
A l’heure où la valeur travail est souvent mise à mal, où la reconnaissance de l’investissement humain est rare, où le mal être au travail est porté au devant de la scène, cette récompense représente aux yeux de l’équipe dirigeante de l’Ehpad un vrai enjeu managérial.
Il s’agit, au travers de cette cérémonie modeste mais riche de sens, de mobiliser les équipes et de formaliser un temps dédié à la reconnaissance du travail bien fait, au plus près des attentes des personnes âgées accompagnées.
Ces dames, émues, se sont peu exprimées. Mais leurs regards trahissaient une grande fierté : celle d’avoir été reconnues comme un maillon essentiel du travail accompli par tous.
Quelques heures plus tôt, Monsieur S., résident de l’Ehpad, ancien combattant et ancien haut fonctionnaire d’Etat, avait été mis dans la confidence. Il avait demandé discrètement à voir la médaille : « Une telle récompense, ça veut dire quelque chose… ».
En ce soir de septembre où souffle le vent tiède de la rentrée des classes, anciens et salariés avaient retrouvé le goût savoureux du travail récompensé.
Cette année encore, à l’occasion de la réunion de rentrée proposée à l’ensemble du personnel de la résidence retraite Yves-Couzy, les salariées sont à l’honneur.
Au terme de deux heures de réunion au cours desquelles plusieurs thèmes majeurs ont été abordés (l’accompagnement des résidents en fin de vie, la mise en place d’un code de bonnes pratiques professionnelles élaboré en équipe, la formation, le futur agrandissement de la structure qui permettra de diversifier plus encore les modalités d’accueil), Muriel Brajon, directrice de la résidence, a souhaité valoriser l’investissement humain de salariés présents depuis plus de 20 ans.
Christine Niel et Christiane Mora se sont vues remettre une belle médaille tricolore pour vingt ans de « bons et loyaux services ».
A l’heure où la valeur travail est souvent mise à mal, où la reconnaissance de l’investissement humain est rare, où le mal être au travail est porté au devant de la scène, cette récompense représente aux yeux de l’équipe dirigeante de l’Ehpad un vrai enjeu managérial.
Il s’agit, au travers de cette cérémonie modeste mais riche de sens, de mobiliser les équipes et de formaliser un temps dédié à la reconnaissance du travail bien fait, au plus près des attentes des personnes âgées accompagnées.
Ces dames, émues, se sont peu exprimées. Mais leurs regards trahissaient une grande fierté : celle d’avoir été reconnues comme un maillon essentiel du travail accompli par tous.
Quelques heures plus tôt, Monsieur S., résident de l’Ehpad, ancien combattant et ancien haut fonctionnaire d’Etat, avait été mis dans la confidence. Il avait demandé discrètement à voir la médaille : « Une telle récompense, ça veut dire quelque chose… ».
En ce soir de septembre où souffle le vent tiède de la rentrée des classes, anciens et salariés avaient retrouvé le goût savoureux du travail récompensé.
à l'affiche : "La guerre des boutons"
Mercredi 14 septembre, six résidents se sont rendus au cinéma Alain Resnais (Clermont l'Hérault) afin d'assister à la projection de "La guerre des boutons" de Yann Samuell, avec Eric Elmosnino, Mathilde Seigner, Fred Testot.
Et puisque ce blog est là pour recueillir nos avis, voici la critique de M.Soulanes (réalisateur et scénariste "au repos") :
"Il y a l'histoire, le souvenir que l'on garde de l'histoire, et quand il s'agit d'un film, un souvenir qui parfois l'embellit.
C'est peut-être le cas pour "La guerre de boutons" mise en images par Yves ROBERT dans les années 50 et qui a laissé dans les mémoires la présence craquante du "petit gibus" Lartigue et de sa réplique "si j'aurais su, j'aurais pas venu", passée depuis en référence populaire.
Que restera-t-il dans nos souvenirs de "La guerre des boutons" réalisée en 2010 par Yann SAMUELL ?
Certainement pas les explications de "gros mot" complaisamment étalées sur le tableau noir d'une école. Époque 1960, les deux bandes de gamins munis de bâtons et de gourdins se contenteront de se bombarder avec des prunes pour éviter à la production des frais d'assurances exorbitants.
Les combats en rase campagne sont montrés sans timidités de mise en scène, aidés par des prises de vues "caméra à l'épaule", ce qui dynamise l'action.
Il y a des filles dans les deux clans ce qui constitue un plus sympathique dans cette version.
La prise de bec entre le maire d'un clan et l'instit de l'autre, évite à Alain Chabbat et Eric Elmosino de tomber dans une "pagnolade" à qui il ne manquerait que le curé pour virer "Don camillo".
Il y a beaucoup d'efforts pour mouvementer ce film que nous avons reçu un peu froidement. Nous étions sept spectateurs dans une salle déserte dans notre dos.
La réaction d'un vrai public en exploitation normale souffrira peut-être de l'attente de la version n°3 signée par Jacques Barratier, l'heureux réalisateur des "Choristes"?"
Et puisque ce blog est là pour recueillir nos avis, voici la critique de M.Soulanes (réalisateur et scénariste "au repos") :
"Il y a l'histoire, le souvenir que l'on garde de l'histoire, et quand il s'agit d'un film, un souvenir qui parfois l'embellit.
C'est peut-être le cas pour "La guerre de boutons" mise en images par Yves ROBERT dans les années 50 et qui a laissé dans les mémoires la présence craquante du "petit gibus" Lartigue et de sa réplique "si j'aurais su, j'aurais pas venu", passée depuis en référence populaire.
Que restera-t-il dans nos souvenirs de "La guerre des boutons" réalisée en 2010 par Yann SAMUELL ?
Certainement pas les explications de "gros mot" complaisamment étalées sur le tableau noir d'une école. Époque 1960, les deux bandes de gamins munis de bâtons et de gourdins se contenteront de se bombarder avec des prunes pour éviter à la production des frais d'assurances exorbitants.
Les combats en rase campagne sont montrés sans timidités de mise en scène, aidés par des prises de vues "caméra à l'épaule", ce qui dynamise l'action.
Il y a des filles dans les deux clans ce qui constitue un plus sympathique dans cette version.
La prise de bec entre le maire d'un clan et l'instit de l'autre, évite à Alain Chabbat et Eric Elmosino de tomber dans une "pagnolade" à qui il ne manquerait que le curé pour virer "Don camillo".
Il y a beaucoup d'efforts pour mouvementer ce film que nous avons reçu un peu froidement. Nous étions sept spectateurs dans une salle déserte dans notre dos.
La réaction d'un vrai public en exploitation normale souffrira peut-être de l'attente de la version n°3 signée par Jacques Barratier, l'heureux réalisateur des "Choristes"?"
jeudi 8 septembre 2011
Revenons sur notre dernère sortie au cirque
Le samedi 3 septembre, un soleil généreux a fait ses devoirs de vacances en nous accompagnant jusqu’à Montpellier où nous découvrons, « la cathédrale » blanche et rouge du chapiteau du cirque Arlette GRUSS.
Le spectacle que nous attendons tiendra ses promesses et parfois plus.
Les prestations des artistes athlètes ou dresseurs vont se succéder sans fioritures inutiles, cadrées par des professionnels de haut vol.
Un « monsieur loyal » en tenue sobre nous présentera sans bla-bla les numéros qui s’enchainent en une continuité bien rodée et crescendo.
Très vite la piste se peuple d’un carrousel d’animaux venus de la ménagère et respirant la bonne santé des pensionnaires soignés et heureux : chameaux de Bactriane, camélidés l’Amérique du sud, zèbres d’Afrique et poneys bien de chez nous.
Suivant les prestations de transformistes qui changent de vêtements en deux secondes, derrière un rideau, voire sous une cascade de confettis.
La cavalerie célèbre des cirques GRUSS évoluera sans la directive d’une très jeune écuyère.
Un septuor de tigres se soumettra aux ordres d’un dompteur qui nous épargnera le bluff des ordres hurlés et des claquements de fouet simulés.
Les gradins pleins à ras bord verront se succéder des numéros de force et de souplesse où semblent se soumettre aussi une cohorte d’éléphants.
Le spectacle se terminera en apothéose par un groupe de motos, tournant dans tous les axes d’une sphère métallique à claire voie. Spectacle sidérant d’audace et de précision, salué par un public frappé de surprise, d’admiration et d’émotion.
« Au cirque le spectateur voit l’homme se mesurer à sa force, à son adresse, à son audace et à son courage, en montrant la passion du métier dur et long à maitriser et à parfaire ».
Ainsi parlait du cirque, un fin connaisseur ; Jean RICHARD.
(M.SOULANES)
Samedi 03 /09/2011. Sortie pour aller voir le spectacle du cirque Arlette GRUSS à Montpellier.
On sait qu’un spectacle de cirque ressemble comme deux gouttes d’eaux au spectacle d’un autre cirque.
Le plaisir qu’on peut en retirer dépend surtout du soin que les responsables du cirque ont mis à préparer les numéros présentés.
Sur ce plan, c’est une réussite. Pas de temps morts, les espaces de temps entre les numéros étaient occupés par un présentateur, magicien, prestidigitateur, avec une complice sachant disparaître derrière un rideau et réapparaissant quelques secondes à peine ayant changé de tenue.
Un cirque qui se respecte se doit d’avoir un numéro de dompteur, ou d’écuyère.
Une jeune écuyère de moins de dix ans nous a fait admirer les évolutions de quatre chevaux (peut être y avait-il aussi une jument, je n’ai pas pu juger bien que très bien placé près de la piste).
Quatre tigres, magnifiques, ont obéi, au doigt, à l’œil, au fouet, dont ils n’avaient pas l’air d’avoir trop peur. Quand je pense au mal que j’ai pu avoir pour me faire obéir de mon chat qui n’en faisait qu’a sa tête…. Une merveille de voir ces animaux paraissant en bonne santé et peut-être heureux de jouer avec leur ami homme et venant chercher une récompense que cet ami leur glissait sans crainte dans la gueule.
Je ne parlerais pas des acrobates qui, à hauteur de chapiteau, se glissent dans des cerceaux, ou bien passent d’une barre fixe à une autre, éloignée, au vol, les yeux bandés numéro « réglés » au millimètre sans un raté (dieu merci).
Le dernier, époustouflant : 8 motos circulant à grande vitesse dans une sphère en treillis, se croisant se dépassant, que de points de permis l’ont échappé belle, faute de gendarmes, mais quelques émotions dans les gradins. Le souhait de ne pas assister à une catastrophe.
En dehors du spectacle, quel plaisir de pouvoir l’admirer d’une place bien située ou l’on vient de temps en temps vous apporter de quoi vous rafraichir (merci à tous) en s’inquiétant de votre confort (ça va ? vous êtes bien assis ? besoin de rien ?).
Si je suis toujours là, je crois que je suis partant pour la prochaine avec joie.
(M.PETIT Ambroise)
Un été bien rempli !
Plusieurs sorties ont été programmées pour les mois de Juillet, Août & Septembre.
Comme à l’accoutumée, chaque résident a pu participer aux sorties en fonction des places disponibles.
Jeudi 28 juillet 2011 : Sortie au restaurant "les saveurs de l’Escale"
Mardi 23 Août 2011 : Sortie sur les allées Salengro à Clermont l’Hérault, pour un après-midi de détente et rafraichissant. Dégustation d'une bonne glace.
Samedi 3 Septembre 2011 : Représentation du Cirque Arlette Gruss à Montpellier
A ces sorties ponctuelles, se sont intercalées nos sorties habituelles comme au marché par exemple.
Les visites à la résidence se sont poursuivies malgré les départs en vacances. Ce fut le cas des bébés qui sont venus arroser les jardins en carré.
Nous avons également reçu la visite, du 17 juillet au 26 juillet, de M.REBOUL (conférencier) qui est intervenu sur le thème de l'été (projection d'un diaporama, quizz et atelier arts plastiques).
Comme à l’accoutumée, chaque résident a pu participer aux sorties en fonction des places disponibles.
Jeudi 28 juillet 2011 : Sortie au restaurant "les saveurs de l’Escale"
Mardi 23 Août 2011 : Sortie sur les allées Salengro à Clermont l’Hérault, pour un après-midi de détente et rafraichissant. Dégustation d'une bonne glace.
Samedi 3 Septembre 2011 : Représentation du Cirque Arlette Gruss à Montpellier
A ces sorties ponctuelles, se sont intercalées nos sorties habituelles comme au marché par exemple.
Les visites à la résidence se sont poursuivies malgré les départs en vacances. Ce fut le cas des bébés qui sont venus arroser les jardins en carré.
Nous avons également reçu la visite, du 17 juillet au 26 juillet, de M.REBOUL (conférencier) qui est intervenu sur le thème de l'été (projection d'un diaporama, quizz et atelier arts plastiques).
mercredi 7 septembre 2011
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